14 avril 2010

El Quds

El Quds (le nom arabe de Jérusalem qui signifie : la Sainte), vue du mont des Oliviers.
Les oliviers qui ont donné son nom au Mont.
Vue panoramique. Le cimetière en contrebas et, toujours en point de mire, comme un phare dans la ville, le Dôme du Rocher et l'enceinte sacrée.
De l'autre côté, à travers le grillage d'un grand hôtel, on aperçoit le Mur.
Tag de mitraillette. Rien d'anormal ici.
Eglise arménienne.
Oui, Jérusalem est bien une ville méditerranéenne !
Jeunes Israéliens (et Israéliennes) en uniforme pendant leur service militaire (en pleine ville, on les croise partout avec leur fusil, drôle de sensation, même au restau !!) qui dure 3 ans.
Juif orthodoxe et son "uniforme".
Mais où est Rabbi Jacob ??
Non, contrairement aux apparences, la ville n'est pas sponsorisée par Peugeot...mais c'est l'emblème de Jérusalem. On pourrait s'y méprendre. Plagiat ?
On voit bien sur cette photo que le Mur des Lamentations, monument le plus vénéré par les Juifs, jouxte la mosquée El Aqsa et le Dôme du Rocher....
Calligraphies hébreu, arabe et latine pour une ville multiculturelle.

Ville 3 fois sainte

La via dolorosa, calvaire que le Christ emprunta en portant sa croix jusqu'au mont Golgatha.
L'église du St Sépulcre a été édifiée sur le Mont Golgotha à l'endroit où le Christ connut la crucifixion, la mise au tombeau et la Résurrection.
A l'intérieur de l'église.
Suaire du Christ.
Le Dôme du Rocher sur l'esplanade des mosquées. Le Rocher abrite une grotte en son sein. Jérusalem est la 3ème ville sainte en islam après La Mecque et Médine.
L'intérieur de la mosquée Al Aqsa sur l'esplanade des mosquées. Elle est associée au voyage nocturne du Prophète.Sous la mosquée el Aqsa, une salle de prière accueillant 14000 fidèles tous les vendredis.
La mosquée Al Aqsa.
Le Dôme du Rocher vu de la mosquée el Aqsa.
Et de l'autre côté de l'esplanade des mosquées, le mur des Lamentations.
Le mur des lamentations, dernier vestige de l'ancien temple de Salomon.

Jérusalem

Samedi 20 février : après Petra, en route vers Jérusalem. No man's land entre la Jordanie, le poste-frontière d'Israël et la Cisjordanie.
Arrivée en fin d'après-midi à Jérusalem, on loge dans la vieille ville. Mais quel choc par rapport au Caire - la ville qui ne dort jamais -ici, les échoppes du souk sont déjà toutes fermées. Sécurité oblige. Drôle d'ambiance de ville morte pour le quartier historique.
Réveil le lendemain matin, et vue de la terrasse de notre hôtel : on voit le Dôme du Rocher !!
Du coup, on est tout sourire avec Katharina. Par contre, il fait froid par rapport à l'Egypte et à Petra : le retour de la polaire, du châle et de la parka !
Balade sur les remparts pour prendre possession de la topographie de la ville. Quartier chrétien, arménien, musulman et juif se succèdent sur un tout petit périmètre...
Des chaussures et une roue suspendus...
Le chemin de ronde des vieux sages. On sent vraiment cette ville chargée d'Histoire.
Au loin, une église orthodoxe.
Fin du 1er tronçon du sentier des murailles. Arrivée au pied de l'esplanade des mosquées, tout le monde descend, quartier sous haute surveillance.

7 avril 2010

Petra J1

19/02/10 : frontière israélo-jordanienne. 3h d'attente. Pas les bonnes études (arabe), pas le bon prénom (Koulsoum), pas la bonne provenance (l'Egypte), pas la bonne langue utilisée (oups, boulette de Romain, il a répondu "aywa" au lieu de "yes"), pas les bons desiderata (tampon d'Israël sur un feuillet volant pour pouvoir aller en Syrie ou au Liban avec ce passeport ensuite).
Là, on est souriants, mais on bien failli faire marche arrière surtout après avoir été fichés et subi la questionnette (quelle est ta religion ? Comment s'appelle ton père ? ton grand-père ? Pourquoi étudies-tu l'arabe et non l'hébreu ?...). Bref, un modèle d'intelligence et l'expérience d'une succession de petites humiliations.
Dès le lendemain, on oublie ces mésaventures pour se jeter dans le "sîq", ce boyau qui conduit au trésor Nabatéen de Petra et que le célèbre Indiana Jones a traversé au galop dans "Indiana Jones et la dernière croisade". Unique ! Mais Petra, 1 des 7 merveilles du monde moderne, a un coût et cela fait mal au porte-monnaie. Mais ce sera pire en novembre prochain : 90€ les 2 jours !! Alors, si vous le pouvez, filez-y avant.

Le sîq se resserre sur nous...
et soudain, le Khazneh, ou trésor nabatéen, surgit ... Magique !
Taillé dans la roche et haut de plus de 40 m, il est appelé ainsi en référence à son urne qui le couronne et censée contenir le trésor de Pharaon.
Whaouh, c'est colossal !
C'est parti pour l'ascension vers le "haut lieu du sacrifice". Le nom est suffisamment explicite il me semble.
On continue de grimper...
çà y est, on est arrivés ! vue à couper le souffle sur la vallée de Petra.
Katharina admire la vue et semble toute petite face à la majesté de ce paysage.
Nous avons également effectué l'ascension vers le "monastère ou Deir", autre monument important de Petra, de plus de 50m de haut, mais la batterie de mon appereil est opportunément tombée en panne. Il va falloir que je récupère les photos de Katharina, d'autant qu'elle a pris "climbing man", un bédouin super sportif qui sautait d'un bout du monument à l'autre, à 50m de hauteur.

Petra J2

Le 2ème jour, on a emprunté un chemin plus escarpé, on s'est pris pour de vrais aventuriers sur les traces du trésor nabatéen.
Les 3 mousquetaires à la sortie du "boyau".
Vue sur les montagnes ocres de Petra où des bédouins vivent toujours, certains encore dans des grottes ou anciennes sépultures, même s'ils ne sont plus nombreux. Le fantasme du bédouin fait toujours rêver bon nombre de damoiselles occidentales, phénomène entretenu par la publication de l'autobiographie d'une Hollandaise qui a tout quitté pour aller vivre dans les montagnes avec son amant bédouin.
Mouaif, pas convaincue pour le coup... Je préfère le fantasme du baroudeur !
Le théâtre vu d'en haut.
Vue spectaculaire sur le "Khazneh", le trésor des Nabatéens. Vertigineux !
Romain et moi, après l'effort et une ascension au pas de course pour ne pas râter notre bus. Heureux comme tout.
La célébrissime pause "la vie est belle !!". Je vais songer à la décliner devant les 7 merveilles du monde moderne et dans tous les lieux "magiques" du monde entier. Ou plutôt, peut-être avec un nain de jardin comme dans Amélie Poulain, ce sera moins égocentrique !
Encore moi dans l'ocre rouge. Oui, je sais, j'exagère, çà fait un peu MMSI (Me MySelf I) mais Romain n'aime pas être pris en photo... et Robin et Jules n'étaient pas là, eux qui ne se font pas prier devant l'objectif, de vrais pro !